Occasions et défis de l’utilisation de la microcertification numérique au 21e siècle : présentation d’un modèle conceptuel pour les gestionnaires
DOI :
https://doi.org/10.1522/radm.no5.1419Mots-clés :
Microcertification, Numérique, Apprentissage, Entreprises, Gestionnaires, GRHRésumé
La crise sanitaire provoquée par la pandémie de COVID-19 a engendré des perturbations majeures dans tous les secteurs de l’industrie et a accéléré la transformation numérique des organisations tout en étant le catalyseur de la formation en ligne et de l’apprentissage par le numérique (Brunet, 2020; FCEI, 2020; Lamb, 2020). Ainsi, dans un contexte postpandémique, il est envisageable que les systèmes de formation des organisations soient principalement basés sur des modalités de formations en ligne ou hybrides (Schrumm, 2020). De plus, le mode de formation dit traditionnel entraîne plusieurs insatisfactions chez les gestionnaires actuels. Ainsi, de nouvelles options sont envisagées par les employeurs eux-mêmes afin de pallier le manque de compétences spécifiques de leur main-d’œuvre qui sont propres à leur industrie. L’une de ces initiatives est la microcertification numérique (MCN). Cet article propose un modèle conceptuel construit à partir d’une revue de la littérature qui marie le domaine de l’éducation avec celui du monde des affaires. Il présente les éléments qui accélèrent l’adoption des MCN ainsi que les possibles obstacles lors de l’implémentation.