Lacunes et apports des accélérateurs et des incubateurs universitaires aux écosystèmes entrepreneuriaux

Auteurs-es

  • Julie Ricard Université du Québec à Montréal
  • Hamed Motaghi Université du Québec en Outaouais
  • Hamid Etemad Université McGill

DOI :

https://doi.org/10.1522/revueot.v31n2.1482

Mots-clés :

Incubateur universitaire, écosystème entrepreunarial, démarrage d'entreprise, start-ups

Résumé

Les universités fournissent une grande connectivité et légitimité pour les entreprises en démarrage (start-ups) résidentes. Pourtant, le taux de diplomation des start-ups résidentes demeure inférieur à d’autres incubateurs.  Quatre éléments de plus-value sont constatés : le réseautage, le mentorat, la connectivité et l’amélioration de la marque. Nous suggérons donc qu’il est nécessaire pour les incubateurs universitaires de développer un modèle de connectivité structurelle. Après l’examen de quatre incubateurs canadiens, nous proposons un modèle de connectivité structurelle dans lequel des incubateurs ont développé des modèles d’affaires où les parties prenantes au financement sont impliquées dans d’autres volets critiques du processus d’incubation. Dans d’autres cas, les incubateurs s’appuient sur l’expérience de la direction pour incarner cette connexion entre les composantes du processus d’incubation. Les incubateurs au plus haut classement démontrent une connectivité structurelle et agentique, laissant croire qu’une connectivité agentique est nécessaire au développement d’une connectivité structurelle. De plus, la connectivité structurelle se caractérise par le développement d’un écosystème entrepreneurial agile et autosuffisant.

Téléchargements

Publié-e

2022-10-06

Comment citer

Ricard, J., Motaghi, H. ., & Etemad, H. (2022). Lacunes et apports des accélérateurs et des incubateurs universitaires aux écosystèmes entrepreneuriaux. Revue Organisations & Territoires, 31(2), 29–42. https://doi.org/10.1522/revueot.v31n2.1482

Numéro

Rubrique

Dossier spécial